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Idéal pour un deuxième rencard, créer la surprise et sortir de la « friendzone », le quartier Pigalle offre quelques petites pépites à ne pas négliger. Voici trois endroits singuliers, propices au rapprochement et aux confidences.

Hôtel La Mondaine

Une ancienne maison close des années 30 transformée en hôtel de charme discret ; un nom qui évoque le sobriquet donné à la brigade des mœurs chargée de surveiller le monde de la nuit, une lampe rouge à l’entrée, tout ici rappelle l’esprit des lieux, en étant décoré avec goût, entre cabinet de curiosité et petits salons privés.
Le bar de poche propose les grands classiques, à siroter sur des canapés de velours, alors que des poupées Barbie, aussi libertines que Justine, font monter la température… Promesse d’un jeu à deux, si affinités.
Salon de l'hôtel La Mondaine : canapé et poufs de velours jaune, mur sombre; gravures au mur et ambiance tamisée.

Un salon agréable où prendre un verre en bonne compagnie.

Des poupées Barbie habillées de tenues libertines, sur une étagère.

Une déco entre cabinet de curiosité et salons privés. Au mur, papillons et Barbies échevelées.

Le bar salon de la Maison Souquet tout de velours carmin

Un lieu magnifique où chaque détail compte. Pour une parenthèse hors du temps.

Maison Souquet

On monte définitivement d’un cran en pénétrant dans l’établissement 5 étoiles à la déco signée Jacques Garcia, inspirée des maisons de plaisirs de la Belle Époque.
Niché dans le « Salon des Petits Bonheurs », le salon bar subjugue par son opulence : Indiscret trônant au centre de la pièce, bibliothèque et cheminée sculptées d’époque, peintures de maîtres…
Dans le confort d’un fauteuil capitonné, alcools précieux et cocktails exclusifs aux noms évocateurs “Apollonie”, “Dita” ou “Leila”, se dégustent dans une ambiance feutrée où le temps n’a plus de prise, lors d’une soirée où chacun joue le premier rôle, de Gatsby à La Belle Otéro.

Yagō Pigalle

Derrière une porte, que l’on a tôt fait de dépasser si l’on y prête pas attention, se cache un lieu intimiste et festif, reprenant les codes des bars à hôtesses qui ont fait les beaux jours de Pigalle. Le premier espace, autour du comptoir de quartz rétro-éclairé, boules à facettes et pole dance, joue la carte seventies. Le second, avec banquettes à motif léopard, papier peint, luminaires à l’ancienne, offre un bel écrin pour un rendez-vous à deux.
Les plus hardis, une fois déchaussés, iront se prélasser dans le bed, l’alcôve drapée d’épaisses tentures de velours carmin.
Dans les verres à cocktail, de belles revisites « avec des sirops faits maison » précise Marie la barmaid qui confie voir revenir des couples après leur premier date au Yagō.
La partie bar du Yago Pigalle avec un comptoir rétro-éclairé, de hautes chaises de bar de velours panthère, des boules à facettes.

Une partie bar propice à la fête.

Partie intimiste du Yago Pigalle avec fauteuils et banquettes motifs léopard, lumière tamisée et au fond, une alcôve pour se lover.

Le salon invite aux conversations plus intimes.

📍Hôtel La Mondaine, 4 rue de Vintimille. Paris 9.
Le bar est ouvert du petit-déjeuner à 1h du matin.
📍Maison Souquet, 10 rue de Bruxelles, Paris 9.
Les salons sont ouverts toute la journée, du petit-déjeuner à 1h30 du matin.

📍Yagō Pigalle, 25 rue Victor Massé, Paris 9.
Du mardi au jeudi, de 19h à 2h, vendredi et samedi jusqu’à 4h.
Soirée burlesque ou cabaret le jeudi soir en hiver.